« 40 ans, trop jeune pour mourir »
Merci, chère Marie-Paule, de nous dévoiler avec un tel humour les secrètes pensées d’une femme confrontée au cancer du sein. Féminité blessée, souffrances longues, avenir menacé, mutilation non seulement physique mais aussi sociale. Tu décris cela avec un réalisme parfois ironique mais toujours teinté de tendresse. Tu décryptes le regard des autres, ami(e)s, famille et même celui du chien bien aimé et tu décomptes les années vécues et encore à vivre. 40 ans, c’est trop jeune. Alors, tu inventes une parenthèse temporelle : l’immersion joyeuse dans un congélateur. Pendant vingt ans, la vie s’écoule. Tu racontes ce que tu en perçois.
Quelle belle méditation sur la vie et la mort. Sur la famille, sur l’amour et l’amitié. Et toujours avec le sourire ! Merci pour ce délicieux moment passé à te lire. (G.L.)
- MariePaule Eskénazi : « 40 ans, trop jeune pour mourir ». Ed. Academia L’Harmattan, coll. Livres Libres. 2018. www.editionsacademia.be
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