La semaine des droits des femmes se termine

Une édition originale

Par | Penseur libre |
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Pendant cet événement la Ville de Bruxelles a organisé une série d'activités afin de sensibiliser le public au rôle de la femme dans la société. Cette semaine thématique a gravité autour de la date du 8 mars, ce jour de 1917 où les ouvrières de Saint-Pétersbourg se mettent en grève pour protester contre leurs conditions de travail. Non seulement cette grève aura permis aux femmes russes d’obtenir le droit de vote, mais également de désigner cette date comme “Journée internationale des femmes” à travers le monde.

Cette journée par la suite fut décrétée par les Nations Unies : Journée internationale des droits des femmes.

Pour cette édition 2021, la cellule Égalité des Chances (association à Bruxelles qui lutte contre les discriminations) a décidé de mettre en lumière les inégalités rencontrées par les femmes dans divers domaines professionnels allant de l'entreprenariat au monde académique, politique, sportif et culturel…

C'est pour moi l'occasion de lui rendre hommage, je parle de la semaine mais je n'oublie pas le droit et les femmes, un hommage donc dans le strict respect de la Laïcité qui implique la neutralité de l’État et impose l'égalité de tous devant la loi sans distinction de religion ou conviction. Fort de ses principes, c'est au nom de ma liberté d'expression, de pensée et de conscience que je vous propose cette caricature, la conséquence tragique et parodique de ce qu'a vécu Nadia Geerts.

Maître assistante de philosophie à la Haute école Bruxelles-Brabant, elle a vu ces ennuis débuter l'an dernier lorsqu'elle a affiché sur les réseaux sociaux son soutien à Samuel Paty, cet enseignant français décapité pour avoir montré des caricatures du prophète à ses élèves.

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Ça ne s'est pas arrangé lorsqu'elle s'est prononcée récemment contre le port des signes convictionnels dans l'enseignement. Lâchée par sa hiérarchie -beaucoup de bruit pour rien-, dénoncée, insultée et même menacée sur les réseaux sociaux, l'enseignante a craint et craint toujours pour sa sécurité, elle vit cachée et pense abandonner son métier.

WICH

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