Plage
les beautés presque nues les garçons tout bronzés
rêvent aux amours bleues à leurs tendres baisers
sur la plage où se vêt un vent de longue haleine
et les mouettes planent en la nuée de laine
il fait beau c’est le temps des épaules qui libres
tendent vers l’absolu un fragile équilibre
entre le ciel qui tend son dais de douce plaine
et le corps des rêveurs qui chante à gorge pleine
un chant de rayons purs et de danse sereine
dans la lumière d’or dans la lumière reine
c’est le temps d’oublier l’interminable hiver
et les jours de boulot où tout va de travers
l’année grise et les pluies toutes qui entravèrent
les corps et leurs rêveurs à vivre qui s’entraînent
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