L’espoir est permis et l’échec assuré

– Le meilleur moyen de réussir dans la vie est d’agir selon les conseils que l’on donne aux autres.

– Venir au monde, c’est le découvrir déjà constitué. Alors même que tout est pour nous commencement, tout est en lui continuité. Il n’est rien que nous voyions qui ne s’ensuive de quelque chose que nous n’avons pas vu. (Nicolas Grimaldi)

– Parfois, j’ai l’impression que je suis en train d’essayer d’apprendre son corps par cœur, comme si j’avais peur qu’il disparaisse. (Katarina Mazetti)

– Pénéloper : travailler dans une totale discrétion. (Bernard Pivot)

– l’à venir est déjà assez encombré / inutile / de vouloir en rajouter (Louis Savary)

– L’homme n’est pas né pour résoudre le problème du monde, mais pour découvrir la nature du problème. (Arturo Pérez-Reverte)

– Un ordinateur c’est comme une ville. Chaque fichier est une maison, avec une adresse unique. (Jean-Christophe Grangé)

– Tout conjoint trouve que sa moitié a un caractère entier chaque fois qu’elle ne se met pas en quatre pour lui. (Françoise Parturier)

– L’homme n’accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.

– quel que soit le flacon / trouver la formule d’une ivresse (Jack Keguenne)

– Rien de tel qu’un accident pour nous faire déchiffrer les passages les moins lisibles de notre police d’assurances.

– La trahison n’est que l’une des ressources de l’ingéniosité. (Barry Gifford)

– La déconstruction est avant tout la réaffirmation d’un “oui” originaire. (Jacques Derrida)

– Si la réponse à une question doit être OUI, ce n’est plus une question… (John Magnant)

– Nouvelle société : sans serrures. (Jacques Grinberg)

– Dire du mal de la vie, ultime et insurpassable jouissance. (Jean-Pierre Georges)

– Donald Trump n’est qu’au stade de l’amuse-gueule. Je crains la suite du banquet !

– C’est comme si un arbre épousait une échelle. C’est voué à l’échec.

– Je vis avec quelques autres dans une humanité qui disparaît… (Julien Blaine)

– Seule la nature est belle car elle n’y est pour rien.

– De la même manière qu’il faut plusieurs centaines de kilos d’arbustes aromatiques pour produire, par distillation, un flacon d’essence de romarin, il faut beaucoup de vie réelle pour obtenir le concentré d’une seule page de fiction. (Jean-Philippe Toussaint)

– L’être fuit, le moi est poreux ; s’en faire une image globale relève de la pure illusion. (Maguerite Yourcenar)

– Retenez-moi, retenez-moi ou je vais faire un bonheur ! (Georges Cathalo)