Le 21ème siècle sera tumultueux ou ne sera pas.
– Club Med : des crèches pour adultes. (Françoise Mallet-Joris)
– Nous sommes de moins en moins au courant ce que nous ignorons.
– L’œuvre a besoin du mystère de l’attente. Il est bon, quand on crée, de ne pas nier le temps. (Amélie Nothomb)
– Sur la plage pendant des heures, on prenait de belles couleurs. (Michel Jonasz)
– Mon psy m’a dit que j’allais commencer une nouvelle vie. J’ai demandé ce que je devais faire avec la précédente.
– L’écriture donne au sommeil tant d’images que nous y trouvons la vocation du dormeur. (Roland Counard)
– Il ne faut pas demander aux mots d’exprimer l’inexprimable.
– Là où tout est image, il n’y a plus d’image, plus d’image comme illusion, comme exception, comme scène, comme singularité, comme univers parallèle. (Jean Baudrillard)
– Nous devons rendre aux gens le temps gagné par l’automatisation. (Bernard Stiegler)
– La femme ne veut, dit-on, qu’une chose : être préférée. Elle doit donc nous permettre de comparer. (Paul Masson)
– elle traverse sa propre vie sans très bien savoir pourquoi, elle existe sans raison majeure, tantôt lointaine et tantôt proche. (Jack Keguenne)
– Être solitaire est un choix ; la solitude ne l’est pas.
– La poésie c’est quand le silence prend la parole. (Georges Duhamel)
– Respecter l’autre, c’est le considérer en tant qu’être humain et reconnaître la souffrance qu’on lui inflige. (Marie-France Hirigoyen)
– Tous ces sites et ces blogs qui URL à la mort de solitude et de vanité numériques.
(fadebiaye)
– Si je devais me suicider un jour, je me pendrais à un noyer. Ce serait mon dernier jeu de mot.
– Il y a des jours où il pleut constamment, et d’autres où il pleut davantage. (Alexandre Vialatte)
– Ma vie est tellement parasitée que je ne capte plus la joie de vivre. (Alix Niel)
– La parole est une chose qui vaut si peu qu’on la donne.
– Pour passer d’un mot à un autre, l’homme y passe parfois toute une vie.
(Stanislaw Jerzy Lec)
– Si j’avais su que je l’aimais tant, je l’aurais aimé davantage. (Frédéric Dard)
– L’homme prudent est comme l’épingle : sa tête l’empêche d’aller trop loin.
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– Il y a souvent plus de vice à effleurer le mal qu’à le pratiquer franchement. (Michel Campiche)
– Le passé au musée. Le présent dans la rue.
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