Quand on n’est pas cru, on est cuit.

– Il faut pousser les mots dans leurs derniers retranchements.

– j’écris des livres / je les stocke dans des caisses / pour les soustraire / aux mâchoires du pilon (Louis Savary)

– Faute de s’enfuir, il faut s’enfouir. (Louis Huwart)

– Le sens de la vie est de lui en donner un.

– Si tu veux comprendre le mot bonheur, il faut l’entendre comme une récompense et non comme un but. (Paulo Coelho)

– Je ris aussi je crois, je suis heureuse, là, tout de suite, dans l’engourdissement du sommeil, et si c’était ça le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l’instant. (Delphine de Vigan)

– La vérité s’exprime lorsqu’on écoute les regards.

– j’ai mis le silence à fond

   et je n’entends toujours rien ! (Didier Trumeau)

– Quand deux fantômes se battent, ça fait des bruits de draps froissés. (Éric Allard)

– Il ne faut pas être trop curieux quand on ne veut pas connaître la vérité. (Lisa Gardner)

– La liberté part toujours sans laisser d’adresse.

– Celui qui ne sait pas rire ne doit pas être pris au sérieux. (Philippe Sollers)

– Le problème, ce n’est pas le problème, c’est ton attitude face au problème. (Yoga Sana Bordeaux)

– les rêves ne circulent pas à hauteur de nuages (Jack Keguenne)

– Depuis que je suis à la retraite, je me réveille tous les matins dans une autre vie.

– Partout et n’importe où, méfiez-vous, des vents contraires se lèvent. Les pas clairs règnent. (Romain Sadier)

– À 67 ans achevés, je vois bien que j’ai raté ma vie sportive ! (Julien Blaine)

– Le plus surprenant au sujet d’une photo, c’est qu’elle ne change jamais, même quand ceux qui y figurent reprennent vie. (Andy Warhol)

– On ne fait pas l’amour, c’est l’amour qui nous fait.

– J’ai pris le rêve en stop. Il m’a laissé en plan sur le bord du réel. (Jean-Marc La Frenière)

– C’est triste de penser qu’il faut attendre le pire pour enfin comprendre. Pourquoi le bonheur, on le reconnaît seulement au bruit qu’il fait en partant ? (Jean-Louis Fournier)

– La nuit je mange des rêves, le jour je les digère. (L’abyme des mots)

– De toutes les sources d’énergie, la chaleur humaine est la moins coûteuse.