Chroniques
Mes frères de Dakar
Chroniques Bernard Dutrieux
Pour clore ce temps des chroniques depuis Sénégal, un poème écrit lors de mon retour à Bruxelles. Merci de m'avoir lu avant de se retrouver pour d'autres pages... Mes frères de Dakar … A chaque heure comme au zénith le soleil … Brûle chauffe chaque part de ta chair sombre … Tu pars et tu glisses…
Kër gi ( lire Keur gui)
Chroniques Bernard Dutrieux
Maison se dit donc «Kër» , le cœur du foyer, dans une synchronicité linguistico-phonétique que n’aurait pas renié Jung.
Autour de Blaise Diagne
Chroniques Bernard Dutrieux
Me voici enfin au Sénégal. Le coronavirus m’avait privé de ce voyage, trop longtemps reporté.