Le nombre de lettres ne fait pas la grandeur des mots
Le 02 octobre 2023
Mesdames, messieurs, une question : faut-il vraiment avoir lu « l'interprétation des rèves » pour expliquer les aberrations visuels et auditives dont nous rêvons chaque nuit et que la plupart du temps nous ne nous souvenons plus ? On pourrait rèver, par exemple, de faire la vaisselle dans une étable alors que du robinet d'eau chaude, sort du purin glacé !... Autre rêve : en raison de la difficulté de s'approvisionner en essence, on se surprend (dans le rève) à mettre du vin dans le vide-poche de sa voiture hybride et que «ça marche » !... ou encore : on se retrouve à demi-nu en un endroit inconnu en train de chercher comment entrer dans des toilettes fermées à double tour aélors qu'on croise des gens connus et inconnus, qui ne font même pas attention à votre tenue débraillée et finalement, (dans le rève) vous vous réveillez juste avant l'irréparable : celui de faire dans votre dessous déculottés ! ...ensuite, Ouf !... vous vous apercevez que ce n'était qu'un rêve qui vous a obligé à vous vite réveiller pour faire ce besoin urgent.....Donc je répète ma question : est-ce donc vraiment essentiel, dans la suite de votre séjour terrestre, d'avoir lu et compris Freud dans le texte ? Moi, perso, c'est la question que je me pose chaque nuit alors que je sais que ne me souviendrai pas, en me réveillant le matin, du quart de la moitié du reste d'un rève qui, à l'instant même où je le rèvais, était important jusqu'à me dire qu'il faudrait que je le note, ce que je ne fait pas évidemment !!! Dès lors, je me suis juré/promis de noter-noter-noter !...et encazou je rève la nuit prochaine quelque chose d'essentiel pour l'avenir de l'humanité, de préparer de quoi écrire sur la table de nuit ...ce que j'oublie de faire re-évidemment !!!... à propos, ça, ça se nomme un acte manqué !!!
Certes, mes chers amis et chères amies d'Entre les lignes, on dit parfois de quelqu'un, qu'il ou elle a une mémoire d'éléphant, tout ça parce que « il » (l'éléphant) n'oublie jamais celui ou celle qui lui a fait du bien ou du tort ! Et tant mieux pour celui ou celle-là dont Dumbo se souvient, car dans le meilleur des cas, il ou elle ne se fera pas piétiné par le mastodonte qui a l'esprit de vengeance à la hauteur de son poids et de sa mémoire ! Alors on prétend aussi (qui ça on ? Mystère !) que certaines femmes blondes n'ont pas de mémoire et donc, ont une cervelle de moineau, tout ça parce qu'elles ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leur nez, ce qui est très court ! Cependant, nous savons que les ondes courtes vont bien plus loin qu'on ne le pense...Mais, mon propos en ce jour venteux cornant novembre (quoiqu'on soye en octobre), ce vent qui nous décoiffe aujourdhui, a aussi ses aspects bénéfiques : comme de répandre le pollen fertilisateur, comme aussi celui de décorner les boeufs dit-on, et comme l'écrit Verhaeren, de raffler le long de l'eau les feuilles mortes des bouleaux... comme également de gonfler les voiles des coursiers sur la grande bleue, laquelle n'est pas spécialement bleue (même et surtout la méditerranée) et comme aussi de faire planer les planeurs planants/sifflants sur nos têtes levées vers le ciel en quète d'ovnis !!! Alors, et je terminerai ce paragraphe par ça : le vent ne se contente pas de faire tomber les dernières feuilles des arbres (comme les bouleaux déja cités) mais aussi les grues de chantier, les cabanes, cabanons et autres granges, les brics et les brocs, emportant aussi les tuiles du toit à toi. A contrario, peut-être pourrait-on reprocher au vent de ne pas faire tomber les gouvernements qui, après tout, n'en ont pas besoin, ils tombent tout seul !!! Mais certains couvre-chefs, chapeaux et autres casquettes n'échappent pas à la malignité du vent, car la bonne Prudence de Brassens n'a pas pris garde à maintenir son chapeau...
Ha ! Les bourrasques et les cyclones nous mettent parfois la cervelle à l'envers et nous déposent dans des situations critiques de certains moments incertains : on ne sait plus qui est qui et qui fait quoi ! On croit que c'est untel alors que c'est une-telle et puis après analyse et questionnement, on rectifie notre perception et on reconnait que une-telle n'était pas là, certes, mais untel, lui, était présent!... pas vraiment à l'endroit précis où on croyait le trouver mais, ailleurs, à un autre étage, et peut-être mème dans une autre section située dans l'annexe du bâtiment en rénovation auquel on n'a pas encore accès ! Bon, alors on cherche, on cherche mais on ne trouve pas le responsable qui pourrait nous expliquer pourquoi cet imbroglio est arrivé justement au moment où on croyait que ça ne devait pas arriver. Alors comme personne n'est pas vraiment au courant des nouvelles affectations, la chasse aux indices est ouverte et le moindre petit signe qui pourrait indiquer qui fait quoi et qui est qui, est précieusement noté, analysé avec un soin pariculier qui devrait nous mener à de nouvelles pistes, toutes fraiches celles-là ...et qu'il suffirait de les suivre pour enfin découvrir, d'abord le véritable responsable qui a en tête toutes les données et puis, dans la foulée, qu'il nous dira où se trouve réellement celui qui est qui et qui fait quoi !... Hélas, on ne déchantera que plus tard , quand on s'apercevra de l'erreur d'orientation et du vrai faux mauvais renseignement, pourtant tellement crédible, qu'on le croyait fiable. Comme quoi on peut se tromper !... parce que, on peut aussi avoir oublier d'avoir vu la personne qu'on cherche : oui, mais c'était à un autre étage !... et parce que c'était aussi un autre jour qui ressemblait point par point au jour d'aujourd'hui et que c'est pour cette raison qu'on pose des questions autour de soi et qu'on se demande encore maintenant, qui est qui et qui fait quoi !!!
C'est terrible ! On cherche toujours quelqu'un possédant la science infuse, une sorte de mage ou devin, qui sait tout sur tout, ou presque !...Celui qu'on accuserait volontiers de tous les maux et actes manqués de la terre, alors qu'il (ou elle) n'est là que pour nous renseigner ! Ce n'est qu'un intermédiaire, un relais, et nous l'accusons parceque on le croit responsable de ce qu'il nous révèle, « il se fourre le doigt dans l'oeil ! » croit-on dans les chaumières ! ! Quoique, après réflexion, on reconnait avec réticence, qu'il est magistral quand même dans la façon de se tromper! Par après, bien entendu, s'il y a plainte, il faudra mettre en route une enquête approfondie, des mises en demeure, des procès retentissants pour revenir à une réalité réelle, celle du bon sens, celle d'une certaine fraternité, d'une solidarité solidaire et même, d'une certaine façon, d'un pardon joint à une absolution sans réserve !!! Tout ce fatras d'additions d'erreurs trafiquées, faites de fausses informations, ce monceau d'idées falsifiées, nées de fausses allégations émises par quelqu'un qui n'en sait guère plus que les infos qu'il récolte, à droite, à gauche et au milieu, ne sont là que pour nous renseigner simplement, afin de savoir finalement qui fait quoi et donc qui est qui fait quoi, et qui-qui ne le fait pas ! À ce qu'il parait, les oublis et autres actes manqués foisonnent dans les cerveaux de milliers de personnes. On n'y échappe pas et c'est normal d'une certaine manière, puisque ça vient de l'inconscient ! Ha, l'in-cons-cient!!! hé oui, ça existe ! Freud Sigmund l'a découvert et l'a dit et l'a écrit, et si Freud l'a dit ce n'est pas Jacques qui le contredirait ! Je parle de Jacques Lacan, son freudien disciple of course. Quand Jacques à dit, c'est qu'il l'a entendu quelque part !!! ...Mais qui connait Jacques Lacan sinon les spécialistes, exégètes et autres psychanalystes ? Oui, amis des divans et adeptes des libres-associations, croyez-moi et c'est une révélation : ce sont eux les fameux intermédiaires que je vous citais tout-à-l'heure, ceux-la même qui ne méritent pas les accusations mensongères que le peuple lambda n'hésite pas à faire circuler dans l'underground des idées fausses ! Mais je m'oblige quand même à vous dire que les grands principes-clés de la psychanalyse sont : l'inconscient, le complexe d'Œdipe, le transfert et son interprétation, la levée du refoulement, l'analyse des résistances et l'émergence du désir. Et comme je l'écrivais il y a un instant, quand vous êtes sur le divan, ça fonctionne sur le principe des libres-associations ... Mais, moi, je dois m'arrèter là, ...je ne discourirai pas plus longtemps de cette histoire là ni de ces personnes ! non-non, je n'oserai pas...une autre fois peut-être...et puis, j'ai bien trop peur de vous ennuyer...
Non ! et pourtant oui ... et non : on ne peut tout savoir et par contre, ce qu'il faut savoir et en même temps, ce qu'il n'est pas nécessaire de savoir, (on n'est pas à une contradiction près, c'est que les nuages qui flottent dans l'atmosphère ne ressemblent à rien du tout sauf à des nuages ... qu'on se le dise !... Mais parfois, oui parfois (donc pas toujours), ils peuvent ressembler à une femme nue, ou à un phallus en érection, ou à une figure barbue comme celle de Dieu le père ou à un cheval cabré ou un tigre rugissant (alors qu'il feule normalement) ou encore à je ne sais quoi qui nous fait dire que ça ressemble à quelque chose mais on ne sait trop quoi, vu que le nuage a changé trop rapidement de forme qui ne le fait plus ressembler à quoi que ce soit de connu et surtout d'inconnu ! C'est comme pour les rochers ou les montagnes qui, de profil, suggère la tête d'une femme ou d'un oiseau ! C'est alors que l'imaginative imagination des hominidés que nous sommes, afin d'expliquer et justifier cette ressemblance, concoctent et font naître des légendes où il est question par exemple d'une femme qui s'est battue jusqu'à sa mort pour la vie de son enfant sur ce rocher, justement qui, maintenant, lui ressemble... ou alors c'est l'histoire d'un oiseau qui avait apporté à manger à un nourrison et qu'alors il avait pris la forme qu'on lui avait découverte (l'oiseau pas le bébé) dans la forme de ce rocher qui était devenu magique pour autant qu'on sache s'y jucher !!!
Et donc, amis et amies des belles lettres et de la culture pour tous, afin de justifier cette article culturel, il nous faut citer le nom de ces apparitions taxée d'aberrations aberrantes !!! Ce nom est « paréidolie » ! Et donc virgule, la paréidolie est l'expression de cette tendance du cerveau à créer du sens en assimilant des formes aléatoires à des formes qu’il a déjà référencées. Merci Robert ! Et pour donner consistance à cette définition, il faut savoir que le siège cérébral de la fonction permettant de déceler des formes, extrêmement importante pour la socialisation et le développement de l’espèce, se situe dans le lobe temporal.
Bon vous voilà prévenu, si vous voyez des éléphants roses, des girafes naines ou des autruches géantes qui prendrait la forme du rocher Baillard, arrètez de prendre des produits illicites car sachez que tout ça, ce n'est qu' illusions !!!!!
Oui, d'accord, on a beau dire on a beau faire, la langue et le langage nous poursuivent depuis le moment ou nous sommes sortis du ventre de notre mère jusqu'au moment ou nous rentrerons dans le ventre de la terre, ultime demeure, retour aux sources !
Ô combien nous sommes heureux et fiers d'entendre les « areuh-reuh » de notre dernier né, vagissant pour réclamer son biberon et comme alors nous le trouvons intelligent déja pour son âge ! Elle tète, la gaillarde alors qu'il (le bébé haha) n'a jamais appris à le faire ! C'est donc qu'il la science infuse, le don inné du tètage, (ou du têtement) quoiqu'il ne sache pas encore que, pour marquer son contentement, il pourrait trouver autre chose que de pisser dans les bras de sa nourrice au moment même où on lui a mis un lange propre !!! Mais bon, on ne peut pas tout avoir ! Il a déja tout ce qu'il faut pour survivre, il sait brailler pour marquer sa mauvaise humeur, il sait séduire en produisant des sourires qui font fondre n'importe qui le regarde à ce moment là ! Et alors, il sait aussi dormir ! Mais alors là dormir-dormir-dormir ! Comme une souche !...impossible à réveiller !...il n'a pas besoin d'être réveiller ! Il se réveille tout seul, ce moutard parce qu'il a faim et qu'il ne veut pas attendre 1 seconde de plus qu'on lui donne sa pitance !!! Cela dit on dit le moutard ! Mais si c'est une fille, va-t-on dire la moutarde ???...(dijon la gosse, haha) !
Ah ben non, ne vous endormez maintenant, c'est trop tôt, ce n'est pas l'heure de la sieste ! Moi qui essaie d'assouplir mon langage pour atteindre votre matière grise synapsoïdale pour vous faire comprende mon point de vue sur la langue et le language....Voyez-vous, c'est qu'il ne faut pas confondre l'assouplissement avec l'assoupissement en cas ou vous croyez que j'essaierais autre chose de suspect qui ne serait pas respectable !... alors qu'au contraire il est bon et même excellent, de persuader le bon petit peuple lque l'articulation et la prononciation des mots qui nous ont été inculqués par la culture régionale, région où l'on est né, où l'on a vécu, est nécessaire pour après, quand vous serez en rapport avec d'autres de vos contemporains, de vos semblables, ces personnes qui devraient et qui devront comprendre ce que vous aller dire, sinon vous serez fichu-foutu, mis au rebut et considérés comme une sous-espèce ne faisant pas partie des gens qui sont de votre bord... Tous ceux avec qui vous vivez, dans la rue, dans les magasins, ces gens là sont ceux qui vous ont fait entendre l'accent régional qu'il fallait prendre quand il y en avait un à prendre. Cependant, si vous vous rendez compte qu'il n'y a pas vraiment quelque chose d'intéressant à prendre là où vous êtes, il faut aller ailleurs, là où croit savoir au savoir où la connaissance est chose courante et qui est toujours bonne à prendre. Il faut aller là où on peut apprendre à apprendre, là où on vous donne, parfois gratuitement, des choses qui conviennent à votre esprit, et qui peuvent et même qui doivent être à votre service et qui donc, vont vous servir maintes et maintes fois au cours de votre existence, vous comprenez ce que je dis ?...Voilà un silence impressionnant, non ?...C'est bizarre, j'ai l'impression que je prèche dans le désert, qu'il n'y a personne qui me lit.........La porte est-elle fermée de l'intérieur ?
Dans la vie faut pas s'en faire... à cheval...disait le cow-boy à son cheval pour qu'il sache que c'était très mauvais de marcher sans fer aux sabots!!!.....Alors mon pote, ça t'botte mes élucucubrations divagâgateuses ? Oh mais c'est que je n'ai rien inventé, bonnes gens qui tiquez et critiquez ceusse qui ne mettent pas les points sur les zi ! Ou qui z'oublient de mettre des S là ousqu'y faut en mettre ! En mètre ruban bien entendu ! Ahah ! Non je ne suis pas le seul ni le dernier à jouer avec les mots, avec les lettres, avec les virgules, les points, les accents circonflexants et les zaigus si pas graves (si c'est grave!) !!! Déja au moyen-âge, il était un jeu très courant chez ceux qui savaient et pouvaient lire et écrire, un jeu qui se pratiquait dans la rue et ailleurs : la fatrasie !!! On lançait un mot ou un bout de phrase et il fallait broder dessus sans pour cela qu'il y ait signification ! Comme quoi par exemple ? Et bien voilà une :
Bel homme sans tête Pour faire la fête Mangeait des cailloux, Mais bête sauvage Est qui l'en empêche Un jeudi à Maux,
Et quatre ânesses sans peau prenaient un très grand plaisir à dérober leurs habits.
Une cuve en deux tonneaux chantaient des chansons de geste. (anonyme)
Et voila l'travail : tagadam tsointsoin !!! .....Comme de bien entendu, personne n'oblige personne de pondre des enchaînements de mots sans queues ni têtes, ce n'est qu'un jeu ! C'est vrai quoi : au nom de qui au nom de quoi va-t-on imposer une idée, (la mienne?), un ordre, quelque chose à exécuter, un ultimatum sans discussion, sans dialogue ni réflexion, telle une une injonction, comme de ne pas donner un préavis avant la sanction, tel un désir qui ne soit pas nôtre, ou alors comme une trève, un arrêt obligatoire on ne sait pourquoi, et finalement imposer une façon de penser, de parler ou de se taire, de dire ceci plutôt que cela ! N'est-ce pas insensé d'avoir un avis indiscutable, péremptoire, d'énoncer un décret au nom de quelque chose d'intolérable, inexplicablement inexplicable, qui dénoncerait et condamnerait une innocente idée autre ? ! Je me demande sous quel prétexte fallacieux, résultat de divagations délirantes, on pourrait dire quoi que ce soit qui serait accepté sans qu'il n'y ait d'autres alternatives ? Vais-je vous imposer ma façon de penser alors qu'il y en a tellement d'autres qui ne sont ni meilleures, ni moins bonnes, qui sont simplement autres !... toute aussi avalisables et respectables. Est-ce si difficile de vivre en communauté, sans se disputer pour des sottises et sans faire du tort à qui que ce soit !... mais ça ne veut pas dire qu'on soit obliger de croire que ce que croit l'Autre, voisin/voisine, soit la seule et unique Vérité, qu'il n'y en aurait pas d'autres ! et puis qui nous a dit qu'il n'y en a qu'une de vérité, et que tout le reste n'est que mensonge, invention pure et simple ne s'appuyant sur rien ? A chacun sa vérité comme le disait Pirandello dans sa pièce de théâtre au même titre ! Tiens donc , voilà donc qu'on revient à la notion d'une certaine théâtralité ! Hé oui, on est tous en scène finalement, comme le titre de cette émission étonnante sur les ondes de la RunRadio, section Utan, qui sévit dans la cuvette de Namur le mercredi matin, mais audible sur Internet of course ! ! Au fond, ce n'est pas si étrange que ça, puisque le théâtre, manifestation issue du bouillon culturel de la cité, est présent malgré nous, en nos esprits, et qu'il agit inconsciemment sur notre comportement social !!!!!
Oh lala, voilà que vieil acteur, j'ai (enfin) le premier rôle : celui du donneur de leçon !
On dit toujours que la fin justifie les moyens ! Mais je ne sais jamais comment écrire le mot FIN. ??? ...F-I-N ou F-A-I-M ? Parce que les deux sont possible, non ? Danc ce cas-ci, amis des finales en beauté, il s'agit de F-I-N ! Eh oui, c'est fini pour aujourd'hui, j'ai rempli mon contrat et utilisé l'espace à ma disposition à Entre les Lignes ! Oui, c'est vrai j'ai cherché la petite bête mais je ne l'ai pas trouvée ! Et je ne regarde personne, il ou elle pourrait croire que c'est de lui (elle) qu'il s'agit !!!
Donc, avec ordre et sagesse, on termine en beauté, avec mon argument fatal, mon leit-motif, ma façon d'être, ma devise : a pa peur
