semaine 13

Le vrai ment souvent

Mots clés décroisés par Roger Avau, le 16 février 2017

Guglielmo Achille Cavellini : Écrire entre les lignes. © alchetron.com

Il faudrait penser à tous les destins qui échouent sur les rivages de leur possibilité. (David Foenkinos)

Les hauts murs de l’école privent les petites rues de soleil. (Perlette Adler)

Le dernier de nos désirs est généralement le premier comblé.

La générosité, c’est des cadeaux qu’on se fait à soi-même. (Franz-Olivier Giesbert)

la colombe de la paix / a toujours / les ailes trop courtes (Louis Savary)

Il n’y a point d’autre science que celle du destin.

Quand j’écris, j’ouvre grand les bras et j’avale la vie… Je franchis les mers et les montagnes, je traque le détail, dévore des kilos de documentation, j’écoute. (Katherine Pancol)

Ce que nous pensons voir est toujours tributaire de notre vue, et de tout le passé unique, propre à chacun de nous, que celle-ci a accumulé. (Bernard Hennebert)

Je sais que quelque part dans cette ville où je me promène seule, tu respires, c’est déjà beaucoup. (Marc Lévy)

L’éternuement, c’est l’orgasme du solitaire.

Si on taisait tout ce que l’on ne sait pas, on atteindrait bien vite à l’absolu silence. (Pierre Autin-Grenier)

Attachez vos ceintures et gardez-les fermées ! (Jean-Paul Baras)

La poésie, comme l’amour, risque tout sur des signes. (Michel Deguy)

Trébucher sans tomber, c’est faire un grand pas.

Les romantiques aimeraient peut-être penser qu’ils sont faits de poussières d’étoiles. Les cyniques préféreraient sans doute parler de déchets nucléaires. (Simon Singh)

Il s’agit moins de guérir la mélancolie que d’en faire une source de rêverie, d’humeur vagabonde. (Tzvetan Todorov)

N’avoir rien à dire et ne rien dire quand même est un acte courageux.

Le pire de la mort c’est de penser qu’on en réchappe. (Denis Heudré)

Vais signer un décret contre les likes sans lendemain. (J-L. Maurice Massot)

Pour réussir au cinéma, une actrice doit être entre de bonnes mains.

La réalité n’est pas absurde, l’absurde est réel. (Frank Adam)

Sans toi, ma vie est une salle d’attente. (Frédéric Beigbeder)

Autrefois, il était aisé de se connecter à quelqu’un. Aujourd’hui, il faut presqu’être un informaticien.

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