Le vide peut mener à l’essentiel.
Mots clés décroisés par Roger Avau, le 15 septembre 2016
Photo © Roger Avau
– Le vide est plein. (Trinh Xuan Thuan)
– L’expression la plus élégante, c’est « disponibilité ». (fadebiaye)
– Je rigole face au danger, ensuite je cherche un abri pour me cacher.
– Si tu me quittes est-ce que je peux venir aussi ? (Alain Bashung)
– Est-ce la nuit qui produit l’obscurantisme ?
– Pour être soi-même, il faut être quelqu’un. (Stanislaw Jerzy Lec)
– Le bonheur n’est pas une illusion. Sa simplicité apparente, si. (Grégoire Lacroix)
– Qui est capable d’expliquer où se situe la frontière entre sécurité et liberté ?
– On apprend très peu de l’expérience. (Salman Rushdie)
– Si vous voulez laisser vos empreintes dans le sable du temps, ne traînez pas les pieds.
– Il faut être pas mal seul pour donner sa chance à l’esprit. (Patrick Chouissa)
– La vraie solution se cachait au pied du plus haut des monuments qu’il avait érigés à chacun de ses regrets. (Gilles Legardinier)
– La poésie est l’épouse du lendemain et la fille du passé (Mahmoud Darwich)
– Un baiser : façon de rapprocher deux personnes à tel point qu’il devient impossible de voir leurs défauts.
– Imposer sa langue, c’est imposer sa pensée. (Claude Hagège)
– Nous vivons dans un monde où la seule aventure consiste à baiser sans capote. (Frédéric Beigbeder)
– Il y a des matins où j’ai besoin d’un chausse-pied.
– Le paradoxe du dictionnaire : les mots ne s’expliquent que par d’autres mots.
(Antoine Blondin)
– Ton pire ennemi est le cauchemar que j’ai fait de toi. (Jacques Albin)
– Mourir ce n’est pas partir, c’est arriver.
– Le philosophe, c’est celui qui, dans la simplicité, voire le dénuement, met de la pensée dans sa vie et sa vie dans sa pensée. (Michel Onfray)
– Le bon fonctionnement d’un robinet se vérifie quand il ne fonctionne pas.
(Max Laire)
– Mon passé a pris beaucoup de sens erronés.
– L’apocalypse se déchaîna avec deux bonnes minutes d’avance sur les prévisions les plus optimistes. (Pierre Vandenberghe)
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